La recherche dans les Hautes Ecoles et Ecoles supérieures des Arts
La recherche appliquée en Hautes Ecoles est actuellement financée à hauteur d’un million d’euros par la Fédération Wallonie-Bruxelles, somme répartie annuellement par le biais d’un appel à projets. Les projets sont par la suite sélectionnés par un Comité d’experts.
L’ASBL SynHERA, pour sa part, accompagne les Hautes Ecoles dans leurs activités de recherche appliquée et un fonds (FRArt) pour le financement de la recherche artistique des Ecoles supérieures des Arts.
- SynHERA (Synergie entre les Hautes Écoles et les Entreprises pour la Recherche Appliquée)
L’ASBL SynHERA (Synergie entre les Hautes Écoles et les Entreprises pour la Recherche Appliquée) a été créée pour promouvoir les collaborations entre les Hautes Écoles et des partenaires extérieurs en matière de recherche appliquée.
Cette ASBL regroupe les 19 Hautes Écoles et des Centres de recherche pluridisciplinaires. Elle a pour missions principales d’aider les Hautes Ecoles et leurs partenaires à trouver des financements, à accompagner les projets, à assister et former les équipes de chercheurs et à valoriser les résultats des recherches.
Pour plus d’informations :
Le Fonds pour la Recherche en Art (FRArt), associé au FRS-FNRS, a pour objet de financer la recherche artistique en Fédération Wallonie-Bruxelles, menée par des artistes de toutes nationalités dont les projets sont portés par une ou plusieurs Ecoles supérieures des Arts.
Pour plus d’informations :
La Direction de l’enseignement supérieur a également pour objectif de soutenir le développement de la recherche appliquée dans les Hautes Ecoles et la recherche artistique dans les Ecoles supérieures des Arts qui lui sont affiliées.
Pour ce faire, la Direction de l’enseignement supérieur plaide pour l’éligibilité des Hautes Ecoles et des Ecoles supérieures des Arts à des financements publics et privés conséquents pour la recherche. Elle souhaite également que la visibilité et la valorisation de la recherche appliquée et de la recherche artistique soient améliorées. Elle appelle enfin de ses vœux le développement de réels outils de support à la recherche, en déployant notamment la dynamique d’Open Science.