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Mail : arnaud.michel@segec.be
Tél : 02/256.70.30
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Conférence de presse du SeGEC – 11 septembre 2025 : Tronc commun – Face au flou et au silence prolongé du politique, le SeGEC prend ses responsabilités et propose des pistes concrètes
Point de situations et rétroactes :
Entre janvier et mai 2025 : organisation d’ateliers d’information sur le tronc commun à plus de 7000 enseignants de l’enseignement catholique ;
Mai 2025 – Séminaire organisé par la ministre Glatigny ;
Juin 2025 – Dépôt des propositions du SeGEC au cabinet de la ministre ;
Août 2025 : Université d’été, en présence de la ministre. Frédéric Panier (AKT for Wallonia) et Alexandre Lodez ont rappelé l’urgence ;
4 septembre : tous les programmes du secondaire du SeGEC relatifs au tronc commun sont désormais validés par la Commission des référentiels et des programmes;
5 septembre 2025 – Annonce du report des formations pour directions et équipes pédagogiques justifié comme ceci : « Le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles travaille actuellement à la redéfinition du degré inférieur de l’enseignement secondaire (S1, S2 et S3). Dans l’attente de ces décisions, certaines formations prévues pour accompagner cette réforme doivent être adaptées. » ;
Le SeGEC a une responsabilité à l’égard des Pouvoirs organisateurs qu’il fédère, des directions, des équipes pédagogiques mais surtout à l’égard des élèves dont il a la responsabilité d’enseignement et d’éducation ;
Il y a urgence. Sur le terrain, les acteurs demandent des clarifications quant aux modalités d’implémentation du tronc commun en secondaire plus particulièrement en S1 afin de préparer la rentrée prochaine.
L’enseignement libre subventionné en Fédération Wallonie-Bruxelles en quelques chiffres :
- Fondamental ordinaire : 200.000 élèves, soit 40% de la population scolaire
- Secondaire ordinaire : 228.000 élèves, soit 60% de la population scolaire.
Parmi ces 228.000 élèves, 148.000 sont au D2D3. Parmi ces 148.000 élèves, 59.000 élèves suivent l’enseignement qualifiant, soit près de 40% de la population au D2D3.
Communiqué de presse – Tuerie en Autriche et assassinat en France : rien ne justifie de toucher à la vie
Les événements tragiques survenus hier dans des écoles en France et en Autriche ont profondément bouleversé de nombreuses personnes. Le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SeGEC), par la voix de son secrétaire général, Alexandre Lodez, est choqué et indigné par ces faits tragiques et glaçants. Le SeGEC exprime sa plus grande solidarité avec les victimes et leurs familles ainsi qu’avec les établissements scolaires touchés.
« Il est terrible de constater que, dans nos sociétés, il y a des éducateurs et des enseignants qui se font agresser, insulter, poignarder et tuer gratuitement dans l’exercice d’une des plus belles missions qui puissent exister. Je m’indigne face à cette violence gratuite. La vie est sacrée ! »
Ces actes de violence qui touchent parfois jusqu’à la vie ne peuvent pas s’expliquer. Il n’y a pas d’excuse ou de justification acceptable. Il y a tout simplement une ligne rouge qui est franchie. Nous ne sommes ni dans un jeu vidéo, ni un film de science-fiction, mais dans la vraie vie. Celle que d’aucuns ont volée.
« Je n’abandonnerai pas la conviction forte que le dialogue est au coeur d’une vie démocratique et ne tomberai ni dans une vision de victimisation expliquant l’inexplicable, ni dans le discours simpliste du sécuritaire. J’affirmerai tout simplement la hiérarchie des valeurs. Le respect de la vie et de l’intégrité physique et psychique de chacun et chacune prime sur tout », conclut Alexandre Lodez.
Ces drames rappellent la nécessité de continuer à faire de l’école un environnement où le respect et la protection de la vie restent des valeurs cardinales.
Contact presse :
Arnaud Michel – Directeur du département de la communication – 0471/88 54 48 – arnaud.michel@segec.be
Communiqué de presse – Manque de concertation et coupes budgétaires : l’enseignement qualifiant en péril !
Dès la constitution du Gouvernement, la Ministre de l’Éducation, Madame Valérie Glatigny, a réuni les Fédérations de pouvoirs organisateurs pour affirmer sa volonté de poursuivre la mise en œuvre de la réforme du Pacte et a rappelé son attachement à la concertation des acteurs institutionnels et de terrain.
Après quelques semaines de fonctionnement, force est de constater que ces paroles ne se traduisent pas réellement dans les actes. Les Fédérations de pouvoirs organisateurs (CECP, CPEONS, FELSI et SeGEC) et Wallonie-Bruxelles Enseignement (WBE) tiennent à dénoncer le manque de concertation sur plusieurs dossiers : l’interdiction des GSM à l’école, le projet de réforme des rythmes scolaires annuels, le gel des mesures relatives à la gratuité des frais scolaires, l’instauration d’une nouvelle épreuve externe en troisième année primaire ou encore les diverses mesures d’économie prévues dans le cadre du décret-programme.
Très spécifiquement, les mesures qui touchent le qualifiant sont nouvelles et non concertées au travers des instances du Pacte et sortent de la feuille de route de celui-ci.
Cela nous étonne puisque le Gouvernement, dans la déclaration de politique communautaire, énonce lui-même les principes fondamentaux de la concertation avec les acteurs de « l’école » : « Le Gouvernement s’assurera que les dispositifs associés aux réformes aient été testés avec les acteurs concernés et soient soutenables pour les équipes » (DPC, p. 16) et « le Gouvernement n’entend pas que l’école fasse des efforts budgétaires non concertés, disproportionnés ou injustes au regard de leurs nombreuses missions. Mais il souhaite construire avec les acteurs de l’enseignement un accord administratif, organisationnel et social. Cet accord aura pour but d’éviter toute baisse linéaire des moyens, forcée par une dérive budgétaire non maîtrisée, pour proposer au contraire la mise en œuvre d’une gestion plus efficace, plus raisonnée et équitable des moyens disponibles, notamment en termes de conditions de travail, de statut des personnels et de gestion des carrières ou encore en termes de synergies entre réseaux et de répartition de l’offre d’enseignement » (DPC, p. 12).
Dans le cadre du décret-programme sur le volet du qualifiant, il y a une rupture unilatérale des principes énoncés par le Gouvernement et une déviation de la trajectoire définie par le Pacte qui prévoit déjà des économies importantes.
Pourquoi les mesures envisagées par le Gouvernement dans le cadre du Budget 2025 de la FWB ne peuvent être, aux yeux des Fédérations de Pouvoirs organisateurs et de WBE, de “simples” mesures d’économie et doivent faire l’objet d’une concertation dans le cadre du Comité du Pacte ?
• Ces mesures sont annoncées comme une revalorisation du qualifiant mais dans les faits, elles se traduisent uniquement en économies (plus de 15 millions par an) ;
• des mesures annoncées pour une entrée en vigueur à la rentrée scolaire 2025 qui vont rendre inaccessible aux étudiants qui bénéficient déjà d’un CESS une 7e qualifiante alors que ces jeunes sont engagés dans des parcours d’enseignement et qu’un contrat moral avec les élèves actuellement en 5e et 6e existe. Les élèves de 7TQ (technique de qualification) et TP (technique professionnelle) sont des jeunes qui acquièrent des compétences de haut niveau utiles aux milieux industriels et sociaux ;
• la suppression de plusieurs 7e années de l’enseignement qualifiant, comme le technicien en diagnostic automobile, qui ont été ouvertes à la demande des secteurs professionnels et pour lesquels il n’y aura plus d’offre de formation équivalente en septembre 2025 ;
• des mesures annoncées dans le cadre d’une réforme systémique pour laquelle les acteurs concernés n’ont à ce jour jamais été réunis et consultés dans le cadre du Pacte ;
• un exposé des motifs et des commentaires d’articles qui font un lien avec le Pacte et en particulier la gouvernance du qualifiant ;
• des mesures annoncées alors que la mise en œuvre du tronc commun dans l’enseignement secondaire, impactant fortement l’enseignement qualifiant (impact organisationnel, culturel, dimensions sociale et budgétaire) sont en débat au comité du Pacte ;
• un prélèvement sur les moyens d’encadrement global et pas uniquement sur les moyens de la formation technique et pratique, ce qui entraine mécaniquement une diminution de l’encadrement de la formation commune de ces options qualifiantes. En clair, moins de français, de mathématiques et de citoyenneté pour ces élèves.
Lors du comité de négociation, nous avons remis un avis défavorable sur ces diverses mesures et nous avons même demandé le retrait de ces articles du décret-programme afin qu’une concertation digne de ce nom puisse avoir lieu.
Ces mesures non concertées compromettent d’emblée la réforme systémique de l’enseignement qualifiant, de l’enseignement pour adultes et de la formation professionnelle annoncée dans la déclaration de politique communautaire.
Nous rappelons par ailleurs que l’enseignement qualifiant vient d’absorber la réforme du Parcours d’enseignement qualifiant qui a, en six mois, modifié les grilles horaires ainsi que les programmes et entame la deuxième année du décret dit « Gouvernance du qualifiant » qui rationalise fortement son offre.
Nous ne quittons pas la table des discussions, nous demandons juste de garder le cap et la temporalité fixée par le Pacte d’excellence.
Face aux réformes non concertées qui menacent la stabilité de l’enseignement qualifiant, nous restons résolus à défendre la qualité et la pérennité de notre mission éducative. Notre engagement envers le Pacte d’excellence est clair : nous y contribuons activement depuis 2017, et nous demandons que le Gouvernement respecte ce cadre de dialogue, indispensable à la réussite des élèves et au bien-être des équipes éducatives. Nous restons engagés dans cette voie, assurés qu’une éducation de qualité et équitable, est un droit que nous défendrons sans compromis.
Communiqué de presse : Un nouveau secrétaire général au SeGEC à partir du 1er novembre 2024
Au terme de la procédure prévue par ses statuts, le conseil d’administration du SeGEC a désigné ce jeudi 27 juin Alexandre LODEZ comme futur Secrétaire général du SeGEC pour un mandat de 5 ans. Il entrera en fonction le 1er novembre prochain en succession d’Etienne MICHEL.
Communiqué de presse : Positionnement des Hautes Ecoles et des Écoles supérieures des Arts du réseau libre confessionnel (SeGEC) et non-confessionnel (FELSI) concernant la proposition de décret réformant le décret Paysage
Dans le contexte actuel de crise majeure liée à la proposition de décret votée par la Commission de l’Enseignement supérieur du Parlement de la Fédération Wallonie Bruxelles le 17 avril dernier, les Hautes Ecoles et les Écoles supérieures des Arts du réseau libre confessionnel (SeGEC) et non-confessionnel (FELSI) appellent au réveil du monde politique.
Projet photovoltaïque du SeGEC – dossier de presse
Dossier de presse accompagnant la conférence de presse de ce vendredi 18 avril au Collège Technique Saint-Jean de Wavre.
Communiqué de presse – Des panneaux photovoltaïques sur le toit des écoles : l’ambitieux projet mené par le SeGEC, Belfius Banque et la BEI
Fin septembre 2022, le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SeGEC), Belfius Banque, la Banque européenne
d’investissement (BEI) et le bureau d’études DUSS lançaient un projet d’envergure visant à équiper les
écoles du réseau libre en panneaux photovoltaïques. Un an et demi plus tard, l’ensemble des partenaires ainsi
que la société qui a remporté le marché public pour l’installation, en 2023, Reno.energy, tirent un bilan provisoire
positif du projet.
Financé conjointement par Belfius Banque et, pour la préparation technique, par la BEI grâce aux subventions européennes
du programme ELENA (European Local ENergy Assistance, mécanisme d’assistance technique pour les
projets d’efficacité énergétique locaux), ce projet revêt une ampleur et une ambition sans précédent dans le secteur
scolaire.
Rendre nos bâtiments scolaires plus durables et contribuer ainsi à diminuer les émissions de CO2 tout en réduisant
la facture énergétique pour les quelque 800 P.O. (Pouvoirs organisateurs) de l’enseignement catholique en communautés
française et germanophone, tel est l’objectif de cet ambitieux programme qui s’étend sur quatre ans et se
poursuivra jusqu’en 2026.
Conférence de presse – Des panneaux photovoltaïques sur le toit des écoles : l’ambitieux projet mené par le SeGEC, Belfius Banque et la BEI
Fin septembre 2022, le Secrétariat général de l’enseignement catholique (SeGEC), Belfius Banque, la Banque européenne
d’investissement (BEI) et le bureau d’études DUSS lançaient un projet d’envergure visant à équiper les
écoles du réseau libre en panneaux photovoltaïques. Un an et demi plus tard, l’ensemble des partenaires ainsi
que la société qui a remporté le marché public pour l’installation en 2023, Reno.energy, vous convient à une conférence
de presse afin de faire le point sur l’avancée du projet, sa genèse et ses perspectives.
Communiqué de presse FELSI – CPEONS – WBE – SeGEC : une politique visionnaire pour l’enseignement pour adultes passera par une feuille de route concertée et ambitieuse
Sur impulsion du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, une vaste étude a été menée entre mars et juin 2023 afin d’aboutir à un Etat des Lieux de l’enseignement de promotion sociale, dans l’objectif de mener ensuite une réflexion relative à l’avenir de notre enseignement, en dressant les orientations générales souhaitées pour le renforcer.
Communiqué de presse : Positionnement des Hautes Ecoles du réseau libre confessionnel (SeGEC) et non-confessionnel (FELSI) concernant la mise en oeuvre du décret Paysage adopté le 2 décembre 2021
Dans le contexte de fortes tensions actuelles liées à la remise en question du décret Paysage adopté le 2 décembre 2021, les Hautes Ecoles du réseau libre confessionnel (SeGEC) et non-confessionnel (FELSI) appellent à de la sérénité dans les débats alors que nous approchons à grands pas de la prochaine session d’examens.
Communiqué de presse : Belfius et le SeGEC s’unissent pour équiper, avec le soutien de l’Union européenne, les écoles libres catholiques en Wallonie et à Bruxelles de panneaux solaires d’ici quatre ans
En septembre 2022, le SeGEC, en partenariat avec Belfius et le bureau d’études DUSS, lançait un projet ambitieux d’équipement des écoles en panneaux photovoltaïques. Ce programme a été mis en place grâce aux subventions européennes du mécanisme ELENA géré par la Banque européenne d’investissement (BEI), pour soutenir les projets qui améliorent l’efficacité énergétique et favorisent le recours aux énergies renouvelables dans les bâtiments.
Quelques mois plus tard, le projet se concrétise et les premières installations auront lieu dans les prochaines semaines. A cette occasion, un communiqué de presse conjoint a été envoyé aux différentes rédactions.
Bâtiments scolaires : la Cour constitutionnelle donne raison à l’enseignement catholique et suspend la clé de répartition
Le Directeur général du Secrétariat général de l’Enseignement catholique (SeGEC), Étienne Michel, a pris connaissance de l’arrêt de la Cour constitutionnelle suspendant certains articles du décret « bâtiments scolaires ». Il se réjouit que la Cour ait retenu les principaux arguments de l’enseignement catholique en décidant de suspendre les articles concernant la clé de répartition des fonds européens et les taux de subventionnement. Le SeGEC demande au gouvernement de modifier le dispositif décrétal afin de garantir la bonne utilisation des fonds européens à répartir, et de tenir compte des enseignements de l’arrêt dans la réforme des mécanismes de financement des bâtiments scolaires qu’il prépare.